Attrapes moi.
Attaches moi.link
Et profite de moi sans retenue.
Je suis ton objet du désir.
Et tu peux m'utiliser pour tous tes phantasmes les plus vicieux et crades.
Je t'en conjure, même si je t'en supplie, narrête pas de m'humilier et de me salir en me possédant avec cruauté ! 

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Salut,
Je me prénomme Christelle.
Je suis plutôt pas mal fichue, je pense, mais je n'ai pas de mec en ce moment.
Moi j'adore m'occuper de mon corps avec l'idée de ne plus pouvoir le contrôler à un certain moment.
Alors je me prépare à souffrir pour jouir.
Je me bonde les seins. Je pénètre mon petit cul d'un gros god que je tends avec une cordelette au montant de mon lit et qui me martyrisera le fondement à chaque mouvement.  je relie ma chatte à ma langue.
Et puis je passe mes bras au dessus de ma tête pour glisser mes poignets dans le noeux coulant d'une corde qui ne me libérera pas de sitôt.
Je passe des heures à essayer de me sortir de ma prison de cordes.
Je souffre beaucoup, mais je jouis de nombreuses fois.
Je regarde mon sexe trempé de mon foutre en me disant qu'il est bien dommage qu'aucun homme n'en profite !

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Il est dégueulasse, ce mec.
Cette fois, c'est décidé, après cette séance de baise malsaine, je ne le revois plus... Enfin je crois, j'espère.

Elle a fait le pari avec moi qu'elle ne demanderait pas stop.
Mais je peux vous dire qu'elle a été décontenancée lorsque, après l'avoir mise nue, je l'ai hissée par les poignée et les chevilles au dessus du sol.
Les bras et les jambes ont commencé à tirer, puis devenir douloureux.
Trop fière pour renoncer, elle s'est contentée de grimacer sa douleur.
Alors j'ai travaillé ses seins. Je les ai écrasés dans mes mains vachardes. Je les ai mordus en laissant des traces cruelles. Et j'ai enserrés ses tétons dans des pinces reliées à une chaîne qui servira tout à l'heure.
Maintenant j'ai pris les lèvres de sa chatte dans d'autres pinces. J'écarte bien pour préparer le vagin à ma main qui va lui entrer entièrement dedans.
Je vais la branler ainsi, mon poing entièrement à l'intérieur d'elle.
Je veux la faire jouir dans la douleur, pour la rendre moins sûr d'elle.
D'ailleurs, elle voudrait déjà renoncer, mais il est beaucoup trop tôt. Son corps m'appartient et il s'abandonnera entièrement à moi.